Asumi Daigaku
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 Je ne suis pas une demi personne...

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AuteurMessage
Gabriel Natsume

Gabriel Natsume


Nombre de messages : 21
Age : 31
Date d'inscription : 06/06/2012

Un peu plus sur vous
Age: 18 ans
Ce que j'aime le plus: Kuro, chanter ♪, le lait choco et les cheveux longs *-*
Ce dont j'ai horreur: la violence gratuite et l'alcool

Je ne suis pas une demi personne... Empty
MessageSujet: Je ne suis pas une demi personne...   Je ne suis pas une demi personne... EmptyJeu 7 Juin - 2:06

Dites-nous qui vous êtes

Nom et prénom :Natsume Gabriel (Gab’ ou Gaby pour les potes)
Sexe :Les deux en un (Hermaphrodite pour ceux qui n’auraient pas compris)
Orientation sexuelle :Je serais mal placé pour faire le difficile
Race :Normalement humain
Âge : 18 ans et toutes mes dents
Profession : (Professeur, étudiant, travailleur, marchand, etc)Etudiant

Quel est votre vécu ?
Par où commencer… Je suis né d’une mère française, que je n’ai malheureusement pas pu connaitre longtemps (je ne m’en souviens que très peu), et d’un père japonais que j’ai malheureusement trop connu. Le jour de ma naissance, ma mère manqua de mourir durant l’accouchement et resta très fragilisée physiquement par la suite. D’après ce qu’on m’a raconté, elle m’a tout de suite aimé malgré mon « problème » alors que mon père à commencer à me détester pour avoir manqué de tuer celle qu’il aimait. Pour lui, je n’étais rien d’autre qu’un monstre qui ne méritait pas de vivre, et il ne se privait de me le faire remarquer lorsque ma mère n’était pas avec nous ; bien entendu à cette époque je n’étais qu’un enfant, je ne pouvais pas comprendre à quel point ces paroles étaient emplies de haine à mon égard, moi, son propre enfant.
Petit à petit, je commençais à avoir peur de lui ; plus je grandissais et plus il tentait de me faire du mal en faisant passer ça pour des accidents de ma part auprès de ma mère et des différents personnes qui passaient à la maison : « ce maladroit est encore tombé dans l’escalier », « il a mis trop d’eau chaude dans son bain et s’est brulé, quel étourdis », je suis blond mais pas idiot pour autant ! Pourtant je n’ai jamais rien dit, ma mère ne méritait pas ça après ce que je lui avais fait (parce qu’il avait réussi à me faire croire que tout ça était bel et bien de ma faute).
En contrepartie, ma mère était la plus douce et la plus gentille des femmes. Elle ne me voyait pas comme le monstre que mon père voyait, elle m’appelait même « mon ange » ; au début je ne comprenais pas trop pourquoi même si ça me faisait plaisir, en grandissant je compris que c’était en rapport avec le prénom qu’elle avait choisi pour moi.

Un jour ma mère tomba malade. Malgré tout ce que les médecins purent tenter, la maladie l’emporta quelques temps plus tard, nous laissant seuls mon père et moi ; et si jusque-là ma vie m’avait parue belle, j’appris vite le sens du mot « souffrir ».
La vie avec mon père était encore plus horrible et insupportable qu’avant, avec la mort de ma mère, il c’était mis à boire plus que de raison et était ivre tous les jours. Si ce n’était que ivre, ça aurait pu passer, mais non il devenait encore plus agressif et violent. Je ne sortais presque plus de la maison, les gens auraient pu voir les marques qu’il laissait sur mon corps, marques dont aujourd’hui encore il reste des cicatrices que je prends grand soin de cacher. Au final, j’étais devenu « le monstre » à tout faire de la maison et si je n’obéissais pas, sachez que les brulures de cigarette étaient la plus douce de ses punitions… « Le monstre fait la vaisselle », « le monstre c’est quoi cette saloperie ? T’appelle ça de la bouffe ? je vais t’en priver on verra c’que tu f’ra de meilleur après ça », à force de me traiter de monstre, il avait fini par m’en convaincre. J’étais entré dans une véritable haine viscérale contre moi-même, ce corps « anormal » me répugnait et pour me punir, je me mis à me lacérer la peau à coup de cutter ; je souffrais et je voulais que ça s’arrête.

Plus le temps passait, plus je n’avais qu’une seule idée en tête, retrouver la seule personne qui m’avait apporté un peu de bonheur dans cette vie misérable qu’était devenue la mienne : ma mère. Je voulais fuir cette prison qu’était devenu mon corps, fuir ce véritable monstre qu’était mon père, mais je n’en avais pas les moyens. Peu importe les blessures que je m’infligeais, j’étais toujours là, aucunes d’elles assez importantes que pour m’emmener loin.

Un jour, alors que mon père était parti au bar avec quelques « amis » de beuverie, je décidais enfin de fuguer, de quitter cette maison et l’enfer qu’elle représentait ; je ne savais pas où aller ni comment, mais il fallait juste que je parte. Alors qu’apeuré, en voyant mon père rentrer plus tôt qu’à son habitude, je me cachais derrière un amat de sac poubelle au coin de la rue en face de chez nous, un feulement de chat et des aboiements de chien attirèrent mon attention au fond de la ruelle. Curieux, j’avançais prudemment vers la source de ce vacarme ; et là je vis, un superbe chat blanc acculé au fond du cul-de-sac par deux gros chiens menaçants. Prenant la première chose qui me tombait sous la main (c’est-à-dire un couvercle de poubelle en métal), je fis le plus de bruit possible en criant sur les bêtes dans l’espoir de les faire partir ; ce qui par miracle fonctionna, aujourd’hui je me demande encore pourquoi.

- Merci, à partir d’aujourd’hui je te suis redevable à vie

Sur le coup, je cru devenir fou. Voilà que j’entendais le chat que j’avais secouru, me parler ; mais je n’eus pas le temps de me poser plus de questions que déjà mon père (qui avait très certainement remarqué ma fuite) arriva et m’empoigna violemment par le bras pour me tirer jusqu’à la maison, me traitant au passage de tous les noms possibles et imaginables. Si il ne prenait même plus la peine de jouer au père aimant en publique, c’est que j’allais déguster en rentrant.

Mon supplice achevé, je me retrouvais seul dans ce qui me servait de chambre (un coin reculé dans la cave avec une petite fenêtre qui donnait sur le sol à côté de la porte d’entrée. J’aurais pu m’enfuir par-là, j’étais bien assez maigre pour, mais mon père n’était pas fou et avait placé une grille devant. Je ne me souviens pas exactement de combien de temps je suis resté à regarder la lumière par cette fenêtre, mais lorsque je me suis réveillé, le chat blanc était là et la fenêtre était ouverte.

- Suis-moi

- Qui es-tu ? Comment ça se fait que je t’entende ? je suis devenu fou ? Oui ça ne peut être que ça

- Je t’expliquerais tout ce que tu dois savoir en temps voulu, mais là il faut que tu me suives si tu veux une chance de changer de vie

- Quel est ton nom ?

- Je n’ai pas de nom qui m’est propre, je te laisse m’en trouver un car à partir de l’instant où tu m’as sauvé, nos routes se sont liées à jamais

- Kuro, je trouve que ça te va bien

- Tu as remarqué que j’étais blanc ? Rassure-moi

- Bien sûr, je suis albinos par daltonien.. Je te donne un nom aussi noir que tu es blanc

-Bien, maintenant suis-moi, nous n’avons presque plus de temps

Aussi fou que ça puisse paraitre, je l’ai suivi ; que pouvait-il m’arriver de pire qu’ici de toute façon ?

J’avais quoi ... 9 ou 10 ans à l’époque où j’ai quitté la maison ? Bien sûr ça n’a été facile tous les jours, mais je n’ai jamais aussi bien vécu que depuis que j’ai quitté cet enfer. Avec Kuro on a parcouru de grandes distances, dormant parfois chez des gens qui nous hébergeaient, d’autre fois, moins chanceux, sous une pile de cartons ; mais ces expériences m’ont quelques peu endurcies. Avec le temps, j’ai fini par me faire à l’idée de la particularité de mon corps, j’ai commencé à m’accepter tel que je suis réellement, et j’en ai même joué pour obtenir ce qu’il me fallait pour vivre.

J’avais à présent 18 ans, je voulais faire quelque chose de ma vie mais je ne savais pas quoi. Je n’avais plus suivit de cours depuis la mort de ma mère et je doutais fortement d’avoir un quelconque niveau pour rejoindre d’autre gens de mon âge, pas que j’étais idiot, loin de là, mais tout de même… C’est là que Kuro m’a dit de le suivre sans poser de question, qu’il allait m’emmener dans une université spéciale.

- Mais.. Je n’ai aucune capacité spéciale je ne serais jamais admis…

- Qu’ils soient humains ou non, tous les étudiants de toutes races y sont admis si ils ont le volonté et l’envie d’apprendre

- Bien dans ce cas je vais tenter ma chance. Au fait, tu ne m’as toujours pas expliqué pourquoi je suis le seul à t’entendre et à te comprendre.

- Le temps n’est pas encore venu, sois patient

Voilà tout ce que je peux vous raconter, la suite n’est qu’en court d’écriture comme ma vie ne s’arrête pas là.


Comment êtes-vous ?

Votre physique, votre allure (5 lignes) :Je suis une fille sans forme, sans poitrine et avec une surprise entre les jambes. Bon la plaisanterie ça va un moment mais je vais tenter de me décrire plus sérieusement sans entrer dans les détails de mes caractéristiques plus que particulières. Allons, entrons dans le vif du sujet : je suis de taille moyenne, environs 1m70 ; de corpulence assez fine, à cause de ma « particularité » je n’arrive pas à avoir une véritable taille d’homme. Et le comble du comble, en plus de ma particularité sexuelle, je souffre d’albinisme oculaire (pour ceux qui ne l’auraient pas compris non plus, j’ai les yeux rouges). Pour le reste eh bien il ne reste pas grand-chose.. Ah si ! Je suis blond, parce que je ne suis pas japonais à 100% j’ai hérité des cheveux blonds de ma mère m’a-t-on dit.
Ca c’était pour le physique général, pour ce qui est de l’allure j’aime tout ce qui est punk et gothik. J’ai en tout 19 piercings sur moi, 10 à l’oreille gauche, 5 à la droite, 3 à la lèvre inférieure et enfin 1 à la langue, et non je ne *bip* pas dans les aéroports.

Votre caractère (5 lignes) :Quel est mon caractère… vous avez déjà essayé de vous décrire vous-même, vous ? Bah moi je n’y arrive pas… Mais puisqu’il le faut, je vais faire un effort.
Je suis un grand déconneur ; oui j’ai bien dit « un » j’ai une nette préférence pour mon côté masculin même si j’accepte mes deux facettes, mais ça n’a pas toujours été le cas. J’aime beaucoup m’amuser, déconner, je suis parfois extravagant aussi bien dans mes tenues que dans mon comportement. Mes défauts ? Oui j’en ai, comme tout le monde. J’aime bien jouer avec les autres, oh rien de bien méchant, je ne ferais jamais de mal à quelqu’un je sais que trop bien ce que ça fait.

Signe particulier ? Le(s)quel(s) ?
19 piercings et un chat blanc dans ma capuche

Pouvoirs et techniques héréditaires :Rien
Pouvoirs, maîtrises et spécialités :J’ai une agilité hors du commun et je suis le seul à pouvoir comprendre Kuro
Armes de prédilection :la voix, c’est une arme ? Sinon j’ai toujours un cutter sur moi
Style favori de combat :j’aime autant qu’il n’y ait pas de combat


Un peu plus sur vous (irl)

Prénom, pseudo ou autre :Kuro Neko
Âge :mystère
Code du règlement :Ok by Shiya
Niveau de rp :j’suis pas trop mal doué
Votre présence :entre 5 /10 et 8/10
Comment avez-vous découvert le forum ?Mon chat m’a montré le chemin


Dernière édition par Gabriel Natsume le Dim 24 Juin - 15:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas une demi personne...   Je ne suis pas une demi personne... EmptyJeu 7 Juin - 8:34

Bonjour et bienvenue, t'es sur que tu fais pas /bip/ aux aéroports toi? hahaha

Je ne suis pas une demi personne... Valida11
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