Asumi Daigaku
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 quand on est sans son frére..

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MessageSujet: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyJeu 24 Mai - 11:31

J'avais passé pratiquement toute la journée à rechercher mon frère jumeau. Ce dernier avait décidé de sécher les cours et bien sur n'avait pas eu l' initiative de me prévenir. Je suis sur qu'il avait trouvé un bon coup, et égoïstement n'avait pas voulu partager...Quel radin ce gars! Au moins il pourrait me donner quelques nouvelles de lui. Où est-ce qu'il était? Ce qu'il faisait? Avec qui...Ouais ca ne faisait qu'une demi journée que j'étais séparé de Envy, mais ca me paraissait déjà une éternité. J'étais vraiment trop attaché à mon frère. D'ailleurs il allait voir quand je vais lui tomber dessus celui-là! Il va passer un sale moment...
Avec tout ca, j'avais également séché les cours. C'était nos premiers jours au sein de l'université et pourtant on prenait déjà le risque d'avoir des sanctions. Des deux Yamiko, je sais que je suis le plus malin et stratège, j'avais suggéré à mon frère de se faire discret un certain temps...Mais non Monsieur n'en fait qu'à sa tête comme toujours!...N'allait pas croire que je lui en veux, j'arriverais jamais à lui en vouloir pour quoique ce soit de toute manière, mais bon...
En route pour retourné vers Asumi Daigaku, je décidai de prendre le métro, sans payer, évidement. Toujours un peu sur les nerfs , je donnai un coup de pied à un siège vide avant de m'y laisser tomber, faisant par la même occasion sursauter un vieux grand-père, ce qui me fit sourire. Les gens me regardaient de travers, dans le sens inquiets. Aaah que jamais cette sensation de faire craindre les personnes autour de moi. Si au moins Envy était là, lui aussi aimait cette sensation. Seul j'avais pas l'envie d'embêter qui que ce soit, en cet fin d'après-midi. Contrairement à un groupe de jeune plus loin qui avait l'air de tourner autour de cette jeune femme aux cheveux violets. Je sentis tout de suite qu'elle ne faisait pas partit de ces gens « normaux ».
Quand je sortis du métro, je vis que la bande de racaille avait encerclé la jeune femme. Et non, je n'étais pas du genre à aider les pauvres brebis en danger. Mais regarder, ouais ca j'aime bien. Je m'approchai, me faisais discret et suivis l'échange. Je remarquai que « Violette » (ouais , pas de commentaire pour ce surnom) m'avait remarqué. Je lui lançai un sourire amusé et taquin en inclinent légèrement la
tête poliment pour la saluer avant de lui tirer la langue. Alors comment tu vas te sortir de là?


Dernière édition par Izaya Yamiko le Ven 25 Mai - 13:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyJeu 24 Mai - 17:06

J’étais épuisée, je ne comptais même plus depuis combien de jours j’avais quitté mon manoir. Mon grand et confortable manoir, à moi et moi seule.. Bon il est vrai que j’y vivais avec ma sœur et nos servantes, mais ça ne changeait rien au fait que j’en étais la seule maitresse ! Alors pourquoi être partie ? J’en venais à me poser cette maudite question, j’avais tout laissé là-bas et pourquoi ? Des douleurs aux pieds et aux ailes, ailes que je venais de camoufler comme je le pouvais en les attachant à la robe que j’avais été obligée d’acheter en arrivant dans cette maudite ville humain… Fichus humains, incapables d’accepter autre chose que leur propre réalité.

Après une bonne balade longue et ennuyeuse ici, non je ne me suis pas perdue, je ne suis Remilia Scarlet bon sang ! je ne me perds jamais ! J’ai fini par atterrir dans un metro, direction je ne sais pas où, parce qu’il n’y avait aucun destinations connues sur le panneau.
Je ne m’étais pas installée correctement sur un siège depuis 5 minutes, que déjà tout un groupe de jeunes hommes humains me tournait autour et n’arrêtait pas de me parler de choses diverses totalement dénuées d’intérêt. Et ça continuait de discuter.. j’avais beau garder le silence, ça ne les empêchait pas de continuer de parler dans le vide, que les humains sont des êtres stupides.

Au bout d’un moment, une présence singulière se fit ressentir quand les portent du wagon se fermèrent suite à un nouvel arrêt, enfin autre chose qu’un humain ici. Ne vous détrompez pas, je n’ai pas besoin d’aide, et n’en aurais jamais besoin.

A l’arrêt suivant, je décidais de quitter enfin cet appareil pour reprendre ma route ; mais il semblait que les humains avaient décidé de ne pas me lâcher et je me retrouvais acculée et encerclée dans un coin sombre où personne ne passait. Je les regardais d’un air ennuyé, vraiment cette race n’était bonne à rien.. Non seulement elle détruisait la planète, mais en plus elle se sentait supérieure aux autres, que je pouvais les mépriser. Plus loin, je vis l’autre jeune homme qui n’était pas humain, il semblait prendre plaisir à la situation.

-Décidément, les humains sont vraiment pathétiques

Ils semblèrent surpris par ma phrase, mais je ne leur laissais pas le temps de réagir, je libérais enfin mes ailes endolories, et en un peu record, les mis K.O. avant de me servir de leur sang, les uns après les autres, mais n’en prenant qu’un infimes quantité, ce n’était pas le moment de se faire remarquer.
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptySam 26 Mai - 17:45

Une fois que Violette fut débarrassée de ses pots de col, Je m'approchai, sifflai pour montrer mon impressionnent , tout en continuant de sourire.

« Les Humains sont pathétiques...Mais tellement intéressants, ne penses tu pas? »


L'ange noir que j'étais regarda une des racailles au sol, m'accroupis devant et le touchai comme si c'était une chose morte et curieuse. Puis naturellement lui fit les poches. Malheureusement je ne trouvai pas beaucoup d'argent mais le portable était dernier crie. Je l'offrirais à mon frère tiens! Une fois fait, je me redressai et regardai la femme. Toute la journée avait été plus qu'ennuyante et me voilà que je trouvais un nouveau jouet intéressant. Super! Et vu que mon jumeau n'était pas avec moi , je me promis de garder mon joujou pour moi seul...En espérant qu'elle soit intéressante.

« Tu m'as l'air de savoir parfaitement te défendre. Tu n'es pas comme la plupart d'autre femmes: faible! C'est pourquoi je ne me suis pas permis d'intervenir. »


J'affichai un air poli et aimable. Biensur tout cela était faux. Manipuler les gens c'était tellement facile . Il me suffisait d'adapter une personnalité en fonction de la personne que j' avais en face et le tour était joué. Mais malgré mon air polie , je ne cessais de garder un air moqueur. Elle était loin de paraître cruche , alors trop jouer le jeu risquait de tout gâcher.


« Tu es de la race des vampires, non? Ton odeur est assez forte.»

Allez savoir si c'était un compliment, ou pas...
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyVen 1 Juin - 15:35

Siffler… Voilà qui était bien impoli, mais pour un ange noir ça ne m’étonnais pas. Parce que oui, à l’aura qui s’en dégageait, je pus deviner qu’il s’agissait bien d’un de ces anges maudits.

- Intéressants dis-tu ? ils sont tout juste bon à servir de nourriture, et encore. Ceux-ci avait un goût acre dis-je en jetant un regard dédaigneux aux loques humaines sur lesquelles je m’étais assise pour ne pas me salir durant mon court repas Il va falloir que je me mette autre chose sous la dent si je veux retirer ce goût immonde de ma bouche.

J’observais l’ange s’amuser avec mon siège improvisé, avant de le voir le dépouiller lui et ses… compagnons ? de leur peu de bien précieux. Ce comportement ne m’étonnait qu’à moitié, vu les habits du seul « homme » encore debout, je pouvais voir qu’il était loin d’être riche. Quand il eut fini de leur faire les poches, il se redressa et me regarda d’un air que je n’appréciais guère : comme si je n’étais qu’un objet, et peu m’importais le type d’objet, je ne me laisserais pas faire.

- Je ne suis pas une simple femme comme ces humaines, ne m’insulte pas ou bien tu t’en mordras les doigts si il t’en reste.

Je n’aimais définitivement pas le ton que cet inconnu utilisait avec moi, je n’étais pas n’importe qui ! Et s’il continuait sur cette voie, il ne tarderait pas à s’en rendre compte. Je me relevais de mon « siège », et frottais énergiquement ma robe comme si elle avait été en contact avec la pire des immondices, ce qui n’était pas totalement faux de mon point de vue, et regardais mes jambes avec mécontentement ; décidément ces robes humaines étaient bien trop courtes que pour être décentes, on voyait mes genoux...

Mon odeur était forte ? Cet ignorant commençait véritablement à m’énerver. Comment osait-il me dire ça, à moi ! Mais alors que j’allais m’emporter, je remarquais son petit sourire et comprenait que j’étais occupée de rentrer dans son jeu.

- Mon odeur est peut-être forte en raison du nombre de vie que j’ai déjà avalée, mais la tienne l’est d’autant plus, et je doute pourtant que ton nombre victimes soit aussi imposant que le mien. Monsieur l’ange noir qui ne daigne même pas se présenter.

J’attrapais mes ailes une par une et les frottais doucement avant de faire quelques mouvements avec, histoire de bien les dégourdir, avant de camoufler une fois de plus le long de cette robe à laquelle je n’arrivais pas encore à me faire ; quelle torture pour passer inaperçu ici… J’aurais pu me balader librement et tuer tous ceux qui m’auraient alors aperçu, mais il m’avait expressément été demandé de me faire discrète, comme quoi cette ville tentait de faire ami-ami entre simple humains et créatures magiques telles que nous. Comme si ça avait une chance de réussir.

J’avançais sur les humains inconscients, servants de tapis, et arrivais à la hauteur de l’ange noir. Je m’apprêtais à faire une chose dont j’avais la plus grande horreur : demander de l’aide… mais attention, juste un tout tout petit coup de main, il ne faut pas abuser non plus !

- Pourrais-tu m’indiquer le chemin pour l’Asumi Daigaku, je suis lasse de cette ville.
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyDim 3 Juin - 16:24

Cette fille avait l'air d'avoir du caractère. Je continuai de sourire , me retenant néanmoins de ne pas montrer que je commençais à m'amuser de ses réactions et réponses. Mais c'était loin d'être facile car cette expression était toujours collé à mon visage.

« Je ne sais pas en ce qui concerne leur goût, je n'en mange pas, c'est mauvais pour mon régime. »
Dis-je ironique.
« Et tant mieux si ils ne sont pas bon non? Ca t'évitera de prendre plus de poids comme ca ... »

Je fis mine de la détailler de haut en bas. Biensur qu'elle n'était pas grosse. Mais les femmes s'emportaient souvent quand on parlait de leur corps de manière critique. Et vu que celle ci commençait déjà à tomber dans mon petit jeu, je me suis dis que quelques petites piques par ci par là, ne pouvait rendre ses réactions que plus amusantes.

« Oh excuse moi. C'est vrai j'ai oublié de me présenter: Je suis Izaya Yamiko, ange noir comme tu l'as remarqué. »

Je m'inclinais avec extravagance, toujours le sourire aux lèvres avant de lui demander son nom. J'attendis qu'elle réponde avant de continuer.

« Je n'ai pas tué autant que toi...Surement parce que des années nous séparent, Mamy »

Je fis attention à ne pas me prendre de baffe, on ne sait jamais, alors je restais sur mes gardes.
Je m'apprêtais à lancer une nouvelle petit blague à son sujet quand , elle me demanda où se trouvait Asumi Daigaku. Je ne pus m'empêcher d'étendre mon sourire. Intéressant. Cette vampire allait au même lieu que moi...Le jeu allait durer plus longtemps que prévue. Mais il faudra que je fasse attention que Envy ne me pique pas mon nouveau jouet! D'ailleurs ca me fit penser que j'étais quand même à sa recherche...Tant pis pour lui, qu'il se perde en ville, ca lui apprendra de m'avoir abandonné!

« Très bien Violette, je vais t'y conduire, ca nous permettra de faire plus ample connaissance. »
Je lui fis un petit signe de tête, l'invitant à me suivre.
« Pourquoi une charmante vampire tel que toi, vas étudiant dans ce genre d'université, où les humains ont également accès? »
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Sarah Lanivers

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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyMar 3 Juil - 16:12

J'avais terminé les cours de bonne heure aujourd'hui et c'est tant mieux ! Rester cloîtrée dans un amphi puant et bruyant pendant des heures, ce n'est vraiment pas mon truc. Heureusement que les emplois du temps sont plutôt légers. Toutes ces gamineries m'en ont filé mal au crâne. Je ne sais vraiment pas ce que j'espérais en m'inscrivant là dedans... personne ne m'aidera à résoudre mon problème. D'ailleurs à ce propos, c'est bien pour tenter désespérément de trouver quelque chose que je dois me rendre à la nouvelle herboristerie de la ville. Tout le monde dis que la vieille dame qui tient la boutique est bizarre. Après tout, je n'ai rien à perdre. Peut-être pourra-t-elle me renseigner, ou peut-être pas. Le problème, c'est qu'elle se situe à l'autre bout de la ville et je n'ai pas de voiture... Je regardes quelques instants autour de moi, dans l'espoir de voir apparaître une solution. Il y en a bien une, mais elle n'est pas tout à fait à mon goût. Je farfouille à contre cœur dans mon sac et mes doigts provoquent un tintement familier. Les doigts se resserrent sur mon porte monnaie. Après un examen rapide, je constate qu'il n'y a pas grand chose, mais ça suffira tout de même. Après une bonne respiration, je me dirige vers la station de métro la plus proche. J'ignore totalement à quelle heure passe la prochaine rame mais qu'importe, je ne suis pas pressée d'entrer dans cet engin métallique. Non je ne suis pas claustrophobe, mais ces lieux aux odeurs et teintes repoussantes n'ont pas bonne réputation. Bon, d'une autre côté, je ne peux m'en prendre qu'à moi même... A mon âge, j'aurais déjà du me débrouiller pour passer le permis.

Dix minutes se sont écoulées et le tas de ferraille arrive enfin. Les portes s'ouvrent en grinçant. J'hésites brièvement puis m'engouffre dans la rame. Je réalise alors que je viens de quitter l'odeur d'urine du quai pour trouver celle de la sueur dans l'appareil. Les sièges plus ou moins tagués ou noircis ne me tentent pas trop... les barres glissantes non plus, mais il faut bien s'accrocher à quelque chose... J'opte donc pour un siège à peu près potable et pas trop à l'écart. On ne sais jamais ce qui peut arriver dans ce genre d'endroit. D'ailleurs à ce propos, la vue des jeunes étalés à l'autre bout du compartiment ne m'inspirent rien de bon. J'essaie de m'efforcer de ne pas regarder dans la direction, je ne veut pas d'ennuis. Et pourtant, je ne peux m'empêcher de remarquer un drôle de couple, original, un peu du genre "je t'aime, moi non plus" au premier abord. A vrai dire, ce sont surtout les cheveux violets de la fille qui m'ont attirés l’œil. Je trouve ça plutôt sympa. Le garçon qui l'accompagne n'est pas mal non plus, et de l'extérieur, on imagines vite que les voyons qui gisent sur le sol sont venu embêter la demoiselle et que ce beau garçon l'a défendue. Pourtant,quelque chose me chagrine, un pressentiment. Je ressent en ces deux jeunes gens une aura particulièrement lugubre. Dans le reflet crasseux d'une vitre, je distingue l'une des âmes qui m'accompagne. Elle me fait signe de sortir d'ici. Un pincement m’étreint à cet avertissement et avant que je n'ai le temps de m'extirper de là, un frisson me plaqua sur mon siège. La sensation d'une eau glacée se déversant lentement sur mon corps pour le tétaniser. Abriel ! Ces deux jeunes gens ne sont pas normaux et c'est leur présence qui a attiré l'attention du démon. Tentant de résister à la pression, je m'efforce de me lever. C'est difficile, le poids de l'âme du démon m'écrase, il ne veut pas me laisser partir... Encore un de ses jeux stupides ! La colère finit par m'envahir et alors que je tourne le dos aux deux adolescents, les mots finissent pas sortir en un cri étouffé :

- Disparais, sort de ma vie, laisse moi !

Il me faut quelques secondes pour réalisé que j'ai hurlé. Moi qui voulait me faire discrète, je crois bien que c'est raté...
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyLun 16 Juil - 23:20

- Prendre du poids ? Hahaha impossible, tu ne sais vraiment rien.

J’aurais pu mal le prendre, m’emporter. Mais depuis le temps, je savais très bien que ce n’étais pas le sang qui me ferais grossir. De plus il ne fallait surtout pas que je marche dans le jeu de cet individu.

- Remilia, Remilia Scarlet. Mais je ne sais pas si je dois être enchantée de te rencontrer.

Cet Izaya était faux, rien de ses gestes, paroles, et autre n’étaient vrais ; il ne fallait pas être devin pour se rendre compte qu’il jouait la comédie, impossible de savoir à quoi il pouvait penser réellement. J’ignorais ce qu’il serait capable de me faire si j’entrais dans son jeu, mais il ne fallait pas que ça arrive.

- Mamy dis-tu ? il est vrai que comparé à moi tu n’es qu’un gamin, un enfant, un embryon peut-être ?

Je pouvais toujours essayer de renversé la situation non ? Mais trêve d’amusement, je devais absolument retrouver mon chemin et lui, semblait pouvoir m’y mener. Seulement là, son sourire ne me disait rien de bon. Je ne savais pas ce qu’il pouvait avoir en tête, mais quelque chose me disais que je ne tarderais pas à le savoir.

- Il me semble t’avoir donné mon prénom, alors cesse de m’appeler « violette », je suis loin d’être une fleur.

Je le suis, et à mon grand désarroi voilà qu’il me fait reprendre cette machine infernale que je venais de quitter. Il va se placer dans le fond, et je l’y suis prudemment ; je ne lui fais toujours pas confiance.

- J’ai mes raisons, et elles ne te regardent en rien. Conduis-y-moi si tu veux te rendre utile, sinon laisse-moi.


A peine avais-je eu terminé de parler, qu’une nouvelle bande d’humain se rapprocha de nous. Etais-je maudite ? Je les ignore tant bien que mal, les humains s’adressent à Izaya, lui demandant si je suis sa copine. « copine » ? Nous n’étions même pas amis, comment aurions-nous pu être plus… Et en bien entendu, l’ange noir en profite pour enfoncer le clou, de coup c’est moi que ces choses viennent déranger ; ils ont mal choisi leur moment, je suis énervée. Sans prendre de gants, je les mets K.O. vite fait bien fait sous le sourire sadique de l’ange noir qui m’accompagne, si je pouvais lui faire avaler son sourire à celui-là.

- Et ça t’amuse je suppose, j’espère que ceux de ton espèce ne sont pas tous comme toi

Je suis coupée dans ma tirade par une jeune fille qui se met à crier. Curieuse, je me retourne pour voir la provenance de ces cris ; le plus surprenant est de voir que c’est seule qu’elle avait « parler », et qu’elle en est autant surprise que les autres passagers. Je m’éloigne de mon « compagnon » de voyage et m’approche de la jeune fille.

- Allons bon, qu’est-ce qui t’arrive

Je sens quelque chose d’anormal chez elle, elle est humaine ça ne fait aucun doute, mais elle est entourée par une chose que je ne saurais décrire ; et pourtant j’en ai vu des choses dans mon existence.
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MessageSujet: Re: quand on est sans son frére..   quand on est sans son frére.. EmptyMer 18 Juil - 9:20

Je conduisis donc ma chère Violette au caractère de cochon vers l'université. Nous dûmes reprendre le métro. Je me dirigeai directement vers un coin où il y avait personne pour avoir plus de liberté à embêter mon cher nouveau jouet. Je lui expliquai pourquoi je l'appelais Violette et non pas....Vous l'aurez compris j'avais déjà oublié son vrai prénom. Et étant quasi certain que cette remarque allait la mettre en colère, je ne me cachais pas de lui avouer.
Bien tranquilou dans le métro puant de transpi' et autres odeurs pas très appétissantes, je levai les yeux sur un nouveau groupe d'humain qui venait vers nous. C'était ca d'avoir un si jolie jouer, ca attiré les convoiteux...Ouais ce mot n'existe pas, mais j'ai l'habitude de l'utiliser avec mon frère depuis petit. « Sale Convoiteux ! » je lui criais quand il piquait un de mes jeux. Biensur il se moquait de moi...Avant que je ne vienne le serrer dans mes bras...Là il râlait...
Bref , revenons dans le métro avec cette bande de jeune qui me demandait si Violette était ma petite amie. Je souris, me retins d'exploser de rire et jetai un regard moqueur à la vampire signifiant bien que cette chose ne sera jamais rien d'autre qu'un passe temps et rien d'autre...Les humains durent comprendre ma réponse car commencèrent à embêter la demoiselle...Demoiselle qui leur cassa les dents...J'en vu même une voler.
Je sifflai une nouvelle fois.

« Et bien, tu as du répondant ma chère Violette, ca pourrait être presque sexy...Si ton visage ne faisait pas aussi peur . »

Je lui fit un grand sourire des plus aimable comme ci j'avais fait un très beau compliment. Biensur c'était encore faux.

« Et ça t’amuse je suppose, j’espère que ceux de ton espèce ne sont pas tous comme toi »

Je pensais à mon frère...Et bien si un jour il y avait une rencontre en lui et elle , ils s'entretueraient surement...Heureusement que j'étais le plus « gentil » des deux...
Je haussai donc les épaules pour toute réponse quand une jeune femme se mit à crier dans le métro. Je tournai mon regard curieux.

« Elle a vu son reflet dans un miroir ou quoi? »

Je ricanai, pendant que Violette alla voir se qui n'allait pas. Les vampires s'inquiétaient pour les humains maintenant? C'était nouveau. Alors que plus tôt elle en avait éclaté une dizaine...J'adore mon jouet! Imprévisible. Je me levai à mon tour la suivant et me plaçant derrière elle, les mains dans les poches de ma veste détaillant la jeune femme qui venait de crier. Il y avait un drôle d'aura autour d'elle. Je fronçais les sourcils...Encore une pas normale. Y'avait un truc sombre qui planait autour d'elle.

« La vache...Ca sent le démon...Je parle pas de toi ,Douce Violette. »


Je me penchai vers sa joue lui déposant un léger baiser avant de reculer aussitôt, prudent et sur mes gardes si elle voulait me tuer...Ce qui était sans doute le cas. De toute manière l'esquive c'est mon dada donc bon; aucun risque de me prendre le moindre coup...Sauf si elle était plus rapidement que moi ce qui m étonnerais...A défaut d'être fort, et de savoir utiliser correctement mon pouvoir de feu sans rien faire exploser, pour me battre , la vitesse était ce qui me sauvait à chaque fois...
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